À quoi bon inventer le futur, si seuls les mêmes y ont accès ?
- Philippine Dolbeau
- 11 août
- 2 min de lecture

C’était, en somme, toute la question que nous avons posée samedi à VivaTech lors de la table ronde que j’ai eu l’honneur d’animer :
🎙 “Former pour transformer : l’IA au service de toutes et tous.”
Parce qu’en 2025 :
❌ La majorité des jeunes issus de quartiers populaires n’ont toujours aucun accès à l’apprentissage de l’IA, du code, de l’informatique.
❌ Les femmes ne représentent qu’une minorité dans les métiers tech — et encore moins dans les rôles de pouvoir.
❌ Et les biais des algorithmes ne sont pas un bug… mais le miroir amplifié de nos inégalités sociales.
Mais ce futur n’est pas écrit. Il peut être réinventé.
🔥 Et c’est ce que nous avons fait, sur scène, avec :
💥 Barbara Sessa , CEO de Mastercard France, sur l’IA comme outil d’inclusion financière et d’ascension féminine.
💥 Dipty CHANDER , présidente de E-mma, avec un plaidoyer vibrant pour une tech ouverte à toutes et tous.
💥 Alexandre CAUSSIGNAC, maire adjoint de la ville de Thiais, porteur d’initiatives locales remarquables pour sensibiliser dès l’enfance.
💥 Élisabeth Moreno, ancienne ministre, aujourd’hui présidente de Femmes@Numérique, avec un message clair : La tech n’est pas un boys’ club. Elle est notre avenir collectif.
🙏 Un échange fort, nécessaire, sans langue de bois.
Et pour moi, un moment de cohérence :
👉 Parce qu’en tant que journaliste, autrice et femme engagée pour l’éducation, je crois que former, c’est transformer toute une société.
👉 Et que si l’IA est la prochaine révolution, elle doit être une révolution pour tous.
On continue la discussion ici ?
💬 Et vous ? Qu’est-ce que vous faites, concrètement, pour que personne ne soit laissé au bord du futur ?
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